mercredi 15 décembre 2010

La Solidarité Humaine


Introduction : La solidarité est un sentiment qui pousse les personnes à aider d’autres gens, et réciproquement. De cette façon, si on trouve des problèmes, ceux-ci concerneront l’ensemble du groupe et pas une seule personne. Lasolidarité fat que l’Homme réagisse face aux prblèmes des autres comme si c’étaient les siens. La solidarité Humaine fait que tous les Hommes “appartiennent” à un même groupe, à une unique société.

[1] Du Nord au Sud, d’Est en Ouest, tout est lié. Une décision prise en un point de la planète peut avoir des conséquences pour tous. Dans le monde, plus d’un milliard de personnes souffrent de la faim et vivent dans des bidonvilles…
La pauvreté ne cesse d’augmenter, les inégalités se renforcent alors que les richesses se multiplient. Alors que la mondialisation accroît les liens entre les pays, et que les choix politiques et économiques actuels mettent la planète en péril, la solidarité internationale est plus que jamais nécessaire. Celle que nous défendons se base sur le partage et la réciprocité, non sur l’assistance ou le paternalisme, et laisse les populations maîtres de leur destin. Elle doit être portée par tous : associations, pouvoirs publics, entreprises, syndicats, citoyens… et prend des formes différentes qui ne se limite pas aux dons ou aux actions dans les pays en développement. Car, il est indispensable d’agir également sur les causes des inégalités au Nord comme au Sud.
La solidarité internationale est un acte politique et réfléchi. C’est aussi une nécessité pour construire un monde plus juste ! Changer le monde, c’est possible ! Tous les jours près de chez soi !
[2] La Journée internationale de la solidarité humaine met en lumière le fait qu’il est important d’agir de concert en faveur des personnes les plus vulnérables de la société. En cette Journée internationale de la solidarité humaine, prenons l’engagement –en tant que nations et qu’individus– de tendre la main à nos voisins. Vivons notre vie quotidienne en manifestant notre solidarité avec ceux qui sont moins favorisés –les pauvres, les malades et les personnes âgées, les victimes de mauvais traitement et de discrimination ou les personnes dont les droits sont violés– afin d’instaurer un monde meilleur pour tous.
[3] Comment se manifeste la solidarité ?
Dépendamment du besoin ou de la situation du moment, la solidarité peut se manifester sous plusieurs formes : Par des actions d’entraides, le soutien physique et moral, dons etc. Si tu prends l’exemple de notre pays après le séisme du 12 Janvier, Nous avons recu de l’aide de nombreux autres pays et de personnes bénévoles venant de partout dès le lendemain. C’était un beau geste de solidarité !
Quand faut-il être solidaire ?
Il n’y pas vraiment de moment pour faire preuve de solidarité. Par exemple, tu peux te montrer solidaire d’une pensée, d’une cause si tu es membre d’un groupe à ton école, ton église ou dans ton quartier. Mais la solidarité nait surtout lorsqu’une population est victime d’un grand drame (guerre, famine, épidémie…) ou est frappée d’une grave catastrophe naturelle comme le tremblement de terre du 12 Janvier en Haiti.
Ainsi, tu comprends donc que la solidarité (celle qui est juste et morale bien sûr !) doit toujours exister car elle permet aux peuples d’être plus fort et fait appel à ce que nous avons de commun chez nous : l’humanité. Mais il y a ceux qui avaient peu et qui viennent de tout perdre. Même si tu es très jeune, tu peux tendre la main aux plus démunis. Le partage est le meilleur soutien que tu peux leur offrir. Ne gaspille pas ou ne jette pas ce que tu as de trop, penses à ton voisin, ta camarade de classe, un enfant de ton âge qui n’a rien. Absolument RIEN !

Conclusion : De nombreuses inégalités existent entre le Nord, et le Sud. Il y a de milliards de gens pauvres, qui ne sont parfois pas aidés. Il faut lutter contre ça, il existent donc des Organisations Non Gouvernamentales qui s’occupent d’eux, en faisant ce qu’ils peuvent pour les aider, on appelle celà Solidarité. Aidons-les, ne gaspillons donc point, et valorisons ce qu’on a. Parce que l’on a eu beaucoup de chance d’avoir être nés dans le Nord.

BIBLIOGRAPHIE :

[1]Nom du site : Le monde bouge...et vous?
Consultation : 14/12/10
Disponible : http://www.lasemaine.org/osons

[2] Nom du site : Nations Unies
Consultation : 13/12/10
Disponible : http://www.pfcmc.com/News/fr-press/docs/2010/SGSM13314.doc.htm

[3] Nom du site : Crayon Jaune
Consultation : 15/12/10
Disponible : http://crayonjaune.com/blog/wordpress/?p=1686

(Photo)Nom du site : Linternaute Sport
Consultation : 15/12/10
Disponible : http://www.linternaute.com/sport/diaporamas/livres/vivre-le-sport/3.shtml

lundi 13 décembre 2010

Journée Internationale de la Solidarité Humaine

Introduction: Aujourd'hui les personnes du tiers-monde ont besoins de nous. Aidons-les. Une personne meurt de faim toutes les qutre secondes. Va-t-on rester sans rien faire? Le but de la journée mondiale de la solidarité est de les aider, en apportant chacun notre petit grain de sable.

[1] L’ancien Président de la république polonaise inaugurait alors la cérémonie de lancement de la première Journée internationale de la solidarité humaine, qui sera célébrée chaque année le 20 décembre.
Cette Journée, proclamée par l’Assemblée générale des nations unies en 2005, a pour but de souligner l’importance de la solidarité pour faire progresser l’ordre du jour des Nations Unies en matière de développement, en particulier, la lutte contre la pauvreté.
La Déclaration du Millénaire, adoptée par les chefs d’État et de gouvernement en 2000, définit d’ailleurs la solidarité comme l’une des valeurs fondamentales essentielles aux relations internationales du XXIe siècle.
La solidarité, ce n’est pas que la compassion. Elle est un sentiment d’unité et de responsabilité commune, a souligné Lech Walesa. Nous devons en faire la base de l’ordre mondial contemporain. Elle doit réunir la communauté internationale pour l’amener à réaliser sa supériorité sur les intérêts nationaux, en appelant à s’opposer à la vision de conflit et à y répondre par une vision de principes basée sur cette valeur.
Nos rêves peuvent changer la face du monde mais ils doivent être accompagnés d’actions, a poursuivi Lech Walesa. L’ancien Président polonais a proposé la création d’un fonds de la solidarité humaine qui permettrait à tous les citoyens de la planète d’apporter leur contribution même de la manière la plus modeste. Ce fonds serait un fonds d’aide de personne à personne et non de gouvernement à gouvernement, qui, alimenté par des contributions volontaires, pourrait être administré par le Secrétaire général des Nations Unies.
Nous ne pouvons résoudre aucun des grands problèmes du monde sans un partenariat mondial de grande envergure, a souligné Lech Walesa, estimant que le monde a besoin de changements et de mesures urgentes pour combattre la faim, les conflits, les catastrophes naturelles, les changements climatiques, les maladies et le terrorisme. Il ne faut pas avoir peur de rêver. Le mouvement Solidarnosc a pu en son temps mobiliser des millions de gens et contraindre une idéologie néfaste à la défaite.

[2] Le concept de la Journée de la solidarité humaine a pris naissance à l’occasion du premier anniversaire des événements du 11 septembre 2001. Bien plus que la seule commémoration des mouvements de solidarité suscités par le drame, il s’agissait essentiellement de donner suite à la prise de conscience qu’il a générée pour contribuer à la réflexion sur les conditions d’une solidarité universelle et sur les valeurs éthiques et spirituelles communes susceptibles d'orienter les sociétés de demain. Car s’il y a en effet urgence à redécouvrir ou à redéfinir en profondeur les valeurs d’une communauté humaine digne de ce nom, la question demeure de savoir comment, de façon concrète et constructive, donner un sens effectif aux notions de tolérance et de solidarité.
En nous renvoyant une image spectaculaire de notre propre condition, le monde contemporain nous somme de répondre en conscience à une question à la fois simple et brutale : celle de l’orientation que nous entendons donner à nos vies, et du contenu que nous sommes prêts à accorder à la notion d’humanité.

Conclusion: Le but de la Journée internationale de la solidarité Humaine est d'être solidaire avec les personnes les plus défavorisées, de les aider et de collaborer, avec tout le monde à créer un endroit où ils peuvent vivre mieux.

BIBLIOGRAPHIE :

[1]Nom du site : Buddhachannel
Consultation : 13 / 12 / 10
Disponible : http://www.buddhachannel.tv/portail/spip.php?article153

[2] Nom du site : La fondation Ostad Elahi
Consultation : 13 / 12 /10
Disponible : http://www.fondationostadelahi.fr/front_content.php?idcat=2

(Photo)Nom du site : Journée internationale de la solidarité humaine 20 décembre
Consultation : 15 /12/10
Disponible : http://www.un.org/fr/events/humansolidarityday/

lundi 29 novembre 2010

Réchauffements climatiques


[1]Définition : Le réchauffement climatique (en anglais global warming pour réchauffement global) est un phénomène d'élévation de la température moyenne à la surface du globe (air et océans) qui a commencé il y a plusieurs décennies et se poursuit actuellement.
[2]Le réchauffement climatique, également appelé réchauffement planétaire, ou réchauffement global, est un phénomène d'augmentation de la température moyenne des océans et de l'atmosphère, à l'échelle mondiale sur plusieurs années. Dans son acception commune, ce terme est appliqué à une tendance au réchauffement global observé depuis les dernières décennies du XXe siècle.
[3]L'effet de serre:
Les variations de température de l'atmosphère sont généralement liées à différents facteurs comme les fluctuations de l'activité du Soleil ou de la vitesse de rotation de la Terre. Mais la majorité des scientifiques pensent que la cause majeure du réchauffement actuel de la planète est un phénomène différent, appelé l'effet de serre. Il s'agit d'un processus par lequel une grande partie de l'énergie du Soleil qui atteint la Terre est emmagasinée par l'atmosphère de notre planète, plutôt que réfléchie et renvoyée vers l'espace.
La cause la plus probable de l'accélération de l'effet de serre et du réchauffement climatique depuis la fin du XIXe siècle est l'impact de l'homme sur son environnement. D'énormes quantités de gaz à effet de serre sont en effet relâchées dans l'atmosphère par diverses activités modernes comme l'utilisation de combustibles fossiles dans l'industrie et les transports, ainsi que certaines pratiques agricoles comme le déboisement et l'élevage de bovins. On estime ainsi par exemple que la concentration du dioxyde de carbone dans l'atmosphère a augmenté de 30 pour cent depuis le début de l'ère industrielle, ce qui contribue de manière non négligeable à l'effet de serre.

Bibliographie :

[1]Nom du site : Planete energies
Consultation : 28/11/10
Disponible : http://www.planete-energies.com/contenu/7_11_climat2.html

[2]Nom du site : Wikipedia
Consultation : 28/11/10
Disponible : http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9chauffement_climatique

[3]Nom du site : Introduction à l'astronomie
Consultation : 28/11/10
Disponible : http://www.astronomes.com/c1_solaire/p134_rechauffement.htm

(photo)Nom du site : FW Perso
Consultation : 28/11/10
Disponible : http://frankwuyts.be/b7351.jpg ou http://frankwuyts.be/?p=200

dimanche 28 novembre 2010

Journée mondiale du climat


[1] 30% d’émissions de gaz à effet de serre d’ici 2020, sans nucléaire, c’est possible ! Le changement climatique fait peser de nombreux risques sur notre planète : Multiplication des catastrophes climatiques (canicule, inondations, tempêtes…) ;
Montée des eaux qui menace de disparition certains territoires et provoquera l’exode des milliers de « réfugiés climatiques »
Menace sur la faune et la flore et multiplication des catastrophes alimentaires et sanitaires.
Les fausses solutions que sont l’énergie nucléaire (polluante, dangereuse et proliférante) ou les agrocarburants et les mauvaises orientations comme le « tout autoroute » sont destinées à soutenir un modèle de développement dévastateur. Elles détournent des financements qui devraient être affectés à la promotion des économies d’énergie, de l’efficacité énergétique et des énergies renouvelables !
Du 3 au 15 décembre se tiendra à Bali la 13e conférence internationale des Nations unies sur le changement climatique, pour préparer la suite du protocole de Kyoto.
Au même moment, la France dévoilera le projet de loi issu du Grenelle de l’Environnement.
Pour une véritable justice climatique1, les pays riches doivent s’engager à réduire de 30% leurs émissions de gaz à effet de serre, sans nucléaire, d’ici 2020.
Le 8 décembre, pour la « Journée mondiale du climat », rejoignez les évènements partout en France pour exiger que les promesses politiques soient enfin tenues !
De Grenelle à Bali, agissons contre le changement climatique !
[2] Des associations écologistes organisent aujourd'hui la Journée mondiale du climat. Nom de code : "10/10/10" (10 octobre 2010). "Cela va être, je pense, la journée d'action citoyenne la plus suivie de l'histoire de la planète", s'est plu à annoncer Bill McKibben, cofondateur du mouvement 350.org, à l'origine de cette journée. L'idée étant que "les gens découragés transforment leur frustration en actions".
Destinée à encouragé les citoyens à multiplier les petits gestes écologiques pour donner l'exemple à leurs dirigeants, cette initiative vise surtout à pousser les Etats à renforcer leurs actions contre le réchauffement climatique. A deux mois de la conférence internationale sur le climat, à Cancun (Mexique, 29 novembre-10 décembre), l'objectif est d'effacer la déception qui avait prévalu l'an dernier, à l'issue du Sommet de Copenhague.
7 000 événements en 24 heures dans 188 pays
Nettoyage de cours d'eau aux Etats-Unis, journée sans voiture dans le Pacifique (Tonga, Papouasie-Nouvelle Guinée), course aux déchets et sculptures d'ordures à Pékin, arbres replantés en République démocratique du Congo et aux îles Fidji... Au total quelque 7 000 événements sont prévus ou en cours dans 188 pays. Le coup d'envoi a été donné en Australie et en Nouvelle-Zélande ce matin, avant de se prolonger sur le continent asiatique.
En France, entre autres, la fondation GoodPlanet, présidée par Yann Arthus-Bertrand, relaye l'initiative, avec pour objectif que chacun réduise volontairement ses émissions de gaz à effet de serre de 10 %.

BIBLIOGRAPHIE :

[1] Nom du site : Action conso
Consultation : 27/11/10
Disponible : http://www.actionconsommation.org/publication/Journee-mondiale-du-climat.html

(Photo)Nom du site : Emirates
Consultation : 27/11/10
Disponible : http://www.tunivisions.net/10-10-10-journee-mondiale-rechauffement-climatique,10411.html

dimanche 14 novembre 2010

La consommation


[1] Tout d'abord, la consommation désigne en premier lieu l'achat mais c'est aussi un ensemble d'usages des biens, des interactions sociales autour de cet acte d'achat, généralement dans le but de satisfaire des besoins ou des désirs. Elle est le fait des consommateurs, des entreprises et de l'État. Elle dépend également des usages des groupes sociaux, des contraintes de la vie collective, de la construction sociale du marché, ainsi que des effets de la mondialisation.
Cet article propose une synthèse pour appréhender la vie de la consommation, aussi sur bien sur les évolutions de la consommation, des points économistes et des sociologues mais aussi des politologues, ou encore des religions et sagesses, proposant des analyses plus complémentaires qu'opposées...
[2] La consommation n’étant pas une fonction homogène, elle peut donner lieu à différents classements fondés sur l'une ou l'autre de ses caractéristiques.
On distingue généralement :
la consommation individuelle et la consommation collective :
- dans la consommation individuelle, le bien ou le service consommé ne l’est que par un seul individu, excluant tout autre individu du même usage en même temps (une paire de lunettes).
- dans la consommation collective, plusieurs individus peuvent consommer en même temps le même bien ou le même service (utilisation d'une autoroute, par exemple), sans possibilité d'exclusivité et tout en satisfaisant le même besoin.
Les consommations collectives sont en général des services non marchands produits par des administrations publiques (certains services collectifs pouvant toutefois être produits par le secteur privé, comme les cliniques par exemple).
la consommation finale et la consommation intermédiaire :
- la consommation finale, qui est uniquement le fait des ménages (on parle de consommation finale des ménages), est composée des biens et des services destinés à la satisfaction directe des besoins, ainsi que de l’autoconsommation, c'est-à-dire de la consommation que les individus font de leur propre production (produits des jardins, utilisation des logements dont ils sont propriétaires...).
- la consommation intermédiaire, qui est le fait des entreprises (on parle de consommation intermédiaire des entreprises), concerne les matières premières ou les produits semi-finis qui sont détruits, transformés ou incorporés, au cours du processus de production, pour réaliser le produit final (l'énergie et la farine utilisées pour fabriquer une baguette de pain).
la consommation marchande et la consommation non marchande :
- la consommation marchande qui concerne tous les biens, qui sont par nature marchands dans la mesure où ils sont échangés sur un marché à un prix couvrant au moins leur coût de production.
- la consommation non marchande qui concerne essentiellement les services obtenus gratuitement ou pour un prix inférieur à leur coût de revient (ticket de métro, par exemple).

BIBLIOGRAPHIE :

[1] Nom du site: Wikipedia
Consultation : 14 / 11 / 10

[2] Nom du site : Chambre du commece et d'industrie à Paris
Consultation : 13 / 11 / 10

(Photo) Nom du site : Ecolo info
Consultation : 13 / 11 / 10

Journée mondiale sans achat


Introduction : Depuis quelques années, la journée mondiale sans achats est célébrée. Cela est du pour faire voir aux personnes qu’il n’ est pas la peine d’acheter tous le jours et de les faire comprendre qu'on gaspille beaucoup, des fois pour ne presque pas utiliser ce qu’on achette. C’est une espèce de proteste contre la société de consommation.

[1] Aujourd’hui le caddie est devenu un véritable totem pour les sociétés occidentales. Notre niveau de satisfaction dépend généralement de son niveau de remplissage et nous lorgnons toujours avec envie sur les caddies plus remplis que le notre. J’achète donc je suis : c’est le credo des accros de la carte de crédit. Qui n’a jamais été pris d’une fièvre acheteuse ? Et qui n’a jamais regretté ses achats impulsifs ?
Pour tout ceux qui en ont assez de faire partie de cette société de surconsommation, un rendez-vous incontournable : la journée sans achats fétée chaque année le 26 novembre.
Lancé à l’initiative de la Media Fondation à Vancouver, cet événement est relayé dans de nombreux pays depuis plusieurs années. C’est une journée symbolique dont le mot d’ordre est de ne rien acheter et de réfléchir à ce que signifie réellement la société de consommation. L’un des seuls pouvoirs dont chacun d’entre nous dispose est celui de décider d’acheter ou de ne pas acheter. Nous pouvons librement décider où et à quel prix nous passerons à la caisse. De nos jours l’être humain est trop souvent réduit à une seule dimension : le consommateur. C’est la négation pure et simple de notre humanité. Mais quoi que pensent les multinationales, nous ne nous réduisons pas à un porte-monnaie. Nous avons aussi une dimension spirituelle, culturelle et philosophique qui font notre richesse.
La journée sans achats est le meilleur moyen de s’interroger sur ses actes de consommation. Il est nécessaire de prendre de temps en temps du recul pour réfléchir aux valeurs que nous souhaitons défendre, comme le partage, le respect et la qualité. C’est aussi un instant privilégié pour nous interroger non seulement sur nos droits, mais surtout sur nos devoirs et nos responsabilités. Nous disposons d’un réel pouvoir économique qui peut se transformer en un pouvoir de pression. La décision d’achat ou de non-achat peut donc devenir un acte politique qui contribuerait à changer le système. Consommer autrement, c’est revendiquer sa volonté de voir évoluer les législations, c’est dire oui à une approche éthique de l’acte d’achat, aux alternatives économiques et à une autre gestion de son temps.
On nous pousse à croire que surconsommer est notre destinée d’acteur social ; notre raison d’être dans la société.
[2] La société de consommation est aveugle, il n’y a pas de croissance et de développement économique infinis possibles sur une planète dont les ressources sont limitées.
Nous extrayons aujourd’hui deux fois trop de ressources fossiles, et nous émettons dans l’atmosphère plus de deux fois plus de gaz carbonique que la planète ne peut en absorber.
La société de consommation engendre un pillage et l’injustice : 20 % de la population de la planète, les pays riches, consomment plus de 80 % des ressources planétaires.
Notre niveau de consommation a un coût : l’esclavage économique de populations entières.
Elle nie nos dimensions politique, culturelle, philosophique, poétique ou spirituelle qui sont l’essence même de notre humanité. L’espoir est de réanimer notre conscience et de traduire nos idées au quotidien dans nos actions.

Conclusion : Enfin, pour pouvoir la réaliser, il faut faire appel à nos amis, notre famille, etc..pour qu’ils participent dans cette journée. Il faut impliquer les gens et nous impliquer nous mêmes car d’une manière générale, la haute consommation produit une dégradation de l’environnement et il s’agit d’une publicité qui nous invite à avoir au lieu que d’être.

BIBLIOGRAPHIE :

[1]Nom du site : 28 Novembre : Journée mondiale
Date de consultation : 13/11/10
Disponible : http://www.journee-mondiale.com/141/26_novembre-sans_achats.htm

[2]Nom du site : Action consommation
Consultation : 13/11/10
Disponible : http://www.actionconsommation.org/publication/Journee-internationale-sans-achat.html

(Photo) Nom du site : Alachaîne.ch
Consultation : 13/11/10
Disponible : http://www.darksite.ch/alachaine/spip/spip.php?article67

vendredi 29 octobre 2010

Pollution et mobilité urbaine


[1] Les questions de mobilité urbaine, et tout particulièrement concernant la mobilité automobile, sont très souvent abordées sous un angle passionnel, entre défenseurs de l’automobilité (liberté, passion automobile, plaisir, etc.) et défenseurs de l’environnement au sens large (effet de serre, sécurité, pollution, etc.). Comme la mobilité concerne tout le monde, dans ses pratiques quotidiennes, tout le monde a un avis sur le sujet et les débats prennent vite un caractère enflammé, voire idéologique, nuisant à une approche sereine et dépassionnée du sujet.
Or, comme tout sujet ayant des implications locales et globales, immédiates et durables, l’apport du travail des scientifiques semble plus que jamais nécessaire et pourtant, presque toujours occulté, et en tout cas très peu diffusé.
C’est pourquoi, nous inaugurons ici-même une série d’articles provenant d’une recherche de fond menée par un chercheur sur le thème de la mobilité urbaine. Cette recherche minutieuse a ceci d’intéressant qu’elle n’exprime pas le point de vue d’un seul homme, quand bien même il s’agirait d’un chercheur de renom ou de grande compétence, mais qu’elle se présente comme une synthèse organisée de différents champs de recherche en lien avec la problématique de la mobilité urbaine.
Ces articles sont extraits d’une recherche exploratoire de l’INRETS, commandée par la « Mission Transports » de la Direction de la Recherche et des Affaires Scientifiques et Techniques du Ministère de l’Equipement (DRAST), intitulée « Mobilité urbaine et déplacements non motorisés : situation actuelle, évolution, pratiques et choix modal ».
[2] Tout le monde peut désormais se rendre compte des nuisances occasionnées par la pollution de l’air : il suffit de se rendre sur un axe parisien de grande circulation à 17h un jour anticyclonique. Difficulté respiratoire, odeur nauséabonde, yeux rouges, gorge irritée, fatigue… sont autant de gènes que causent la pollution urbaine. Des millions de citadins sont touchés paR ce phénomène et désormais plusieurs fois par an.
Loin d’être un problème mineur, la pollution devient un mal de plus en plus quotidien. Cela peut sembler incroyable que certaines personnes soient obligées de quitter une ville pour des raisons de santé dues à la pollution. Et pourtant c’est une réalité.

Qui est responsable de la pollution urbaine ?
Les activités industrielles ont sans conteste un poids important, variable selon les villes, dans la pollution citadine. Strasbourg ou Grenoble par exemple souffrent de la proximité de leur tissu industriel et de leur situation géographique défavorable.
Mais les principaux pollueurs ne sont pas forcément les groupes industriels. Ce sont chacun d’entre nous qui nous déplaçons en transports individuels. Une voiture seule n’est pas en elle-même un engin très polluant. C’est l’addition de centaine de milliers de voitures, souvent occupées par une unique personne, pour des transports interurbains. C’est l’utilisation de transport collectif diesel. C’est encore la circulation de poids lourds dans le centre des villes. Tout ces facteurs aggravent les pics de pollution que l’on connaît depuis quelques années.
Pourquoi les pics de pollution interviennent-ils l’été ?
Les pics de pollution ne sont pas uniquement imputables aux activités humaines mais trouvent également leurs origines dans la météorologie : l’absence de vent et une inversion de température créent des conditions climatiques propices à ces pics.
Les problèmes liés à la pollution, considérés il y a quelques années comme des problèmes à long terme, deviennent des problèmes quotidiens. Loin d’être irrémédiable, la situation nécessite la prise de mesures fortes.
La pollution urbaine est engendrée en grande partie par la trop grande concentration d’automobiles. Cette pollution a des conséquences prouvées sur notre santé : d’une simple gêne chez des adultes bien portant, elle peut se transformer en maladie ou en décès chez les enfants, les personnes âgées ou certains malades. Les mesures prises en France au niveau national existent mais reste encore timides. Aucune mesure globale idéale n’existe mais de nombreuses solutions sont en test.
Il est donc de l’intérêt de tous que chacun prenne conscience de l’importance des problèmes de pollution et de leur rôle tant au niveau national, par les élections, qu’au niveau individuel.
Il n’est pas normal qu’une mère doive se renseigner sur le degré de pollution avant de promener son enfant.

BIBLIOGRAPHIE :

[1]Nom du site : Carfree France
Consultation : 26/10/10
Disponible : http://carfree.free.fr/index.php/2005/09/09/mobilite-urbaine-et-deplacements-non-motorises-situation-actuelle-evolution-pratiques-et-choix-modal/

[2]Nom du site : La pollution urbaine
Consultation : 29/10/10
Disponible : http://membres.multimania.fr/pmb/pollution_urbaine.html

(Photo) Nom du site : Education à l'environnement
Consultation : 28/10/10
Disponible : http://environnement.ecoles.free.fr/la%20pollution%20urbaine.htm

mardi 26 octobre 2010

Journée mondiale sans voiture


[1] Lancée pour la première fois en 1998 à l'initiative de la France, la journée mondiale sans voiture est fêtée chaque année le 22 septembre.
Elle tend cependant à être remplacée par la semaine européenne de la mobilité,ou "semaine des transports", mise en place en 2007, qui promeut l'utilisation des transports en commun (ticket à 1 € valable toute la journée), et qui se déroule du 16 au 22 septembre.
La journée "En ville, sans ma voiture !" a pour objectif de favoriser la prise de conscience collective de la nécessité d'agir contre les nuisances générées par la croissance du trafic motorisé en milieu urbain.
Il ne s'agit pas seulement de lutter contre la pollution atmosphérique ou les nuisances sonores, mais aussi d'améliorer la qualité de vie en ville : moins d'encombrement, possibilité de se déplacer à pied sans côtoyer les pots d'échappements, se réapproprier l'espace urbain...
C'est également l'occasion de réfléchir aux solutions alternatives à la voiture individuelle, comme les transports en commun, les nouvelles générations de « voitures propres » ou encore des solutions comme le co-voiturage.
Bien évidemment, la marche et le vélo restent les deux solutions à privilégier ! Quelques chiffres...
- Dans l'Union Européenne (UE), les voitures sont responsables de plus de 10 % des émissions de gaz à effet de serre et de polluants atmosphériques nocifs pour la santé et l'environnement.
- L'initiative En ville sans ma voiture a été appréciée de 84 % de Français
et 81 % ont souhaité la voir se renouveler et même s'étendre à toutes les villes.
- Le bruit a diminué de 50 % ce jour-là et la pollution de 40 à 50 %.
- 64 % des Français jugent que la circulation en ville n'est que « peu » ou « pas du tout supportable »
[2] La journée "En ville, sans ma voiture !" a pour objectif de favoriser la prise de conscience collective de la nécessité d'agir contre les nuisances générées par la croissance du trafic motorisé en milieu urbain. Il ne s'agit pas seulement de lutter contre la pollution atmosphérique ou contre le bruit mais aussi d'améliorer la qualité de vie en ville.
La journée sans voitures existe depuis 1998 et les bilans des dernières années montrent une certaine désafection et un réel désengagement des grandes communautés urbaines :
En France, la 7e édition de la "Journée internationale en ville sans ma voiture" (2004) s'est quelque peu essouflée en France, avec seulement 59 villes participantes mercredi 22 septembre contre 72 en 2003 et 98 en 2002. A Paris, seuls quelques quartiers étaient interdits aux voitures.
Parmi les 58 villes françaises qui ont participé cette année à l'opération figurent Paris, Orléans, Rennes, Narbonne, Poitiers, Lyon, Calais, Mantes-la-Jolie, Amiens, Avignon, Vannes et bien entendu La Rochelle qui fut une pionnière en la matière.
Dans le reste du monde, des reculs sont aussi constatés : Au Portugal, 54 villes, sept de moins qu'en 2003, étaient officiellement concernées par la journée sans voiture. Dans la plupart des grandes villes scandinaves, autrichiennes, grecques, italiennes ou néerlandaises, les résultats ont aussi été très mitigés, par manque d'organisation ou encore de coopération des automobilistes.
[3] Journée internationale « En ville, sans ma voiture ». Les objectifs principaux sont les suivants :
Encourager les comportements compatibles avec le développement durable et plus particulièrement la protection de la qualité de l'air, la réduction du réchauffement planétaire et de la pollution sonore
Améliorer la sensibilisation des citoyens aux effets de leurs choix de transport sur la qualité de l'environnement
Offrir la possibilité aux citoyens de marcher, faire du vélo, prendre les transports collectifs au lieu d'utiliser seuls leurs véhicules privés et promouvoir l'intermodalité
Donner aux gens la possibilité de redécouvrir leur ville ou leur village, leurs concitoyens et leur patrimoine commun dans un environnement plus sain et plus agréable
Ces manifestations devraient également servir de tremplins à des initiatives pilotes à long terme visant à améliorer la sensibilisation du grand public à la pollution, au bruit et aux embouteillages dus à une sur-dépendance de la voiture pour les déplacements en ville.
Le 22 septembre 2003, Montréal a en effet enregistré une baisse immédiate de la pollution, avec 40 % de moins de monoxyde de carbone (CO) et de monoxyde d'azote (NO) par rapport aux lundis habituels, dans le périmètre fermé à la circulation.

BIBLIOGRAPHIE :

[1]Nom du site : Solidaires du monde
Consultation : 22 / 10 / 10
Disponible : http://blognotes.solidairesdumonde.org/archive/2009/09/14/22-septembre-la-journee-mondiale-sans-voiture.html

[2]Nom du site : Journée mondiale
Consultation : 24 / 10 / 10
Disponible : http://www.journee-mondiale.com/118/22_septembre-sans_voiture.htm

[3]Nom su site : La pause lecture
Consultation : 25 / 10 / 10
Disponible : http://www.pause.pquebec.com/sujet/journee-internationale-sans-voitures.htm

(Photo) Nom du site : Transports Canada
Consultation : 25 / 10 / 10
Disponible : http://www.tc.gc.ca/fra/programmes/environnement-pdtu-envillesansmavoiture-959.htm

jeudi 14 octobre 2010

La faim dans le monde


[1] La faim dans le monde est un crime à l’humanité, un attentat contre l’être humain, qui se détruit et souffre par lui-même ! Ce problème majeur, ravageur et destructeur ne devrait plus subsister de nos jours, ni dans les pays développés ou les droits de l’homme sont pourtant si bien défendues (ce qu’on est parfois tenté de se demander), ni dans les pays sous-développés ou en voie de développement ou ces droits sont malheureusement trop souvent erronés.
Les causes cette injustice mondiale, qui représente le principal défi pour l’humanité, sont soient naturelles (conjoncturelles), soit issues de l’homme lui-même (structurelles). Dans ce cas le problème est très complexe et il semble presque impossible de le résoudre complètement (ce à quoi aucun pays n’est encore parvenu). Mais il ne faut pas pour autant baisser les bras, car la passivité est vraiment la dernière chose qui permettrait de le résoudre. Au contraire : il est donc important de lutter contre les inégalités qui existent de nos jours et qui risquent, malgré la mobilisation de nombreuses personnes qui ont pris conscience du problème, de continuer à hanter la planète pendant encore longtemps. C’est pourquoi il faut tous se mobiliser et rester solidaire envers les personnes en difficulté : si chacun fait un peu, le résultat n’en sera pas moins important et on devrait rapidement arriver à de nettes amélioration.
Les solutions sont très nombreuses elles aussi. Il faudrait développer et améliorer l’éducation dans les pays pauvres (notamment une formation plus poussée sur l’agriculture ainsi qu’un enseignement sur une alimentation équilibrée), et informer les enfants dès l’école élémentaire de la gravité de la faim pour ainsi former et apprendre aux plus jeunes âmes ce que subissent des millions d’enfants de leur âge, mais également des hommes et des femmes, dans le monde qui pourraient bien être eux. L’erreur serait de croire qu’envoyer la nourriture excédentaire des pays riches aux pays pauvres est une solution, alors qu’il faudrait plutôt apprendre à ces pays à produire eux-mêmes leur propre nourriture, et ainsi créer un état d’autosuffisance alimentaire, comme l’illustrait si bien ce proverbe chinois. Des réformes au niveau de l’état (meilleure répartition des richesses et de la nourriture) seraient également à prévoir, et ce sont les citoyens, c’est à dire vous et moi, qui doivent les y inciter.
[2]La faim a des causes multiples et historiques. Les guerres, les inégalités d’accès à la nourriture, et les intempéries ont toujours produit des mal nourris. Classifions les causes de la faim.
Les Causes Naturelles à la faim dans le monde
Celles-ci incluent les ouragans, les sécheresses et autres catastrophes naturelles qui diminuent considérablement la production et la distribution des nourritures dans le monde.
Les causes structurelles à la faim dans le monde
Celles-ci sont les vraies causes de la faim. La première cause dans cette catégorie est bien évidemment la pauvreté. Les pauvres ont moins accès à la nourriture pour diverses raisons :
Les conditions naturelles des pays pauvres ne permettent pas la production alimentaire adéquate pour subvenir à leurs populations ;
L’endettement des pays en voie de développement qui empêche ces pays de progresser ;
La croissance démographique est plus importante que la production agricole ;
L’augmentation récente du nombre de personnes souffrant de la faim est largement du à la récente crise économique. Les gens ont perdu leurs emplois et donc leurs sources de revenus, ce qui a diminué leur accès à la nourriture.
Les causes politiques a la faim dans le monde
Ces causes sont les plus inacceptables. Ce sont des décisions volontaires, des lois et des guerres. Au niveau international, la faim a été une arme politique. Les pays puissants ont souvent utilisé cette arme pour contraindre les petits pays à accepter leurs conditions. Au niveau national aussi, il y a de nombreuses injustices liées à la répartition des richesses.
[3] Il est à peine croyable qu’à l’époque de la conquête spatiale et des communications instantanées à travers le globe par Internet, ce fléau moyenâgeux qu’est la famine frappe encore de grandes étendues, parfois des nations entières.
Le rapport de l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation (la FAO), publié le mois dernier, le montre : 850 millions de personnes, soit un terrien sur six, souffrent de faim ou de malnutrition ; un enfant en meurt toutes les cinq secondes.
Ce triste bilan de la faim dans le monde montre qu’en dépit des progrès technologiques et de la croissance, le fléau résiste : il y a aujourd’hui en valeur absolue autant d’affamés dans notre monde qu’il y a quinze ans. Si leur part a légèrement diminué en pourcentage (en 1990, environ 20 % des humains avaient faim), c’est seulement parce que la population mondiale a globalement augmenté. L’ « objectif du Millénaire » fixé en 2000 -réduire de moitié le nombre de personnes sous-alimentées d’ici 2015 - ne sera pas atteint.
Il y a une géographie de la faim. Même dans les pays riches, on est surpris de constater que la malnutrition existe encore, malgré tous les programmes sociaux, parmi les exclus : au total, neuf millions d’habitants des pays industrialisés ont faim ; c’est aussi le cas de 25 millions dans les pays dits « en transition ». Mais on ne sera pas étonné que pour l’essentiel, la famine aille de pair avec le sous-développement : elle recule fortement là où la croissance est importante, comme en Chine, en Asie du Sud-est, et en Amérique Latine. Dans mon enfance, il était courant de dire : « mange ta soupe, pense aux petits Chinois qui ont faim ! ». Aujourd’hui, seules les zones rurales les plus reculées de la Chine connaissent la faim. Même l’Inde, en passe de devenir la première puissance démographique du monde, voit la faim reculer ; elle tire le profit de la « révolution verte » avec l’amélioration des semences et des façons culturales. A l’inverse, les régions affamées s’identifient largement aux zones les plus en retard dans la voie du développement, c’est-à-dire en grande partie à l’Afrique Noire (en 15 ans, le nombre de personnes sous-alimentées s’est accru de 12 % en Afrique de l’Est et de 25 % en Afrique Centrale), mais aussi certains pays du Proche et Moyen Orient (y compris le Pakistan), ou de l’arc andin en Amérique du Sud et quelques pays d’Asie Orientale.
Cette carte recouvre, bien sûr, largement celle du dénuement financier absolu. On sait que 1,1 milliard d’humains vivent avec moins d’un dollar par jour. Cependant, il y a des pays très pauvres qui parviennent à faire reculer la famine et des pays nettement plus riches où l’on souffre de la faim malgré un revenu par tête dix fois plus élevé que les précédents ; l’Irak en est un exemple frappant. La carte de la sous-alimentation recoupe également, en grande partie, celle du manque d’eau potable : là encore, le chiffre est énorme : plus d’un milliard d’humains n’ont pas accès à une eau propre.

BIBLIOGRAPHIE :

[1] Nom du site : La faim dans le monde (8): Conclusion
Consultation : 12 / 10 / 10
Disponible : http://www.rvweb.fr/index.php?2001/12/14/11-la-faim-dans-le-monde-7

[2] Nom du site : Faim dans le monde
Consultation : 7/10/10
Disponible : http://www.economiesolidaire.com/2010/04/27/faim-dans-le-monde/

[3] Nom du site : La faim dans le monde
Consultation : 10/10 /10
Disponible : http://www.canalacademie.com/ida1255-La-faim-dans-le-monde.html

(Photo) Nom du site : Une persone meurt de faim toutes les quatre secondes
Consultation : 12/10/10
Disponible : http://terresacree.org/faim.htm

Journée Mondiale de l' Alimentation



[1] Le thème de cette année, Unis contre la faim, a été choisi afin de reconnaître les efforts réalisés dans la lutte contre la faim dans le monde au niveau national, régional et international.
S’unir contre la faim devient une réalité quand les institutions publiques, les organisations de la société civile et le secteur privé travaillent en partenariat à tous les niveaux pour vaincre la faim, l’extrême pauvreté et la malnutrition.
En 2009, le seuil critique d’un milliard de personnes souffrant de la faim dans le monde a été atteint, en partie à cause de la flambée des prix des denrées alimentaires et de la crise financière. Il s’agit là d’« un terrible bilan ».
En cette Journée mondiale de l’alimentation 2010, alors qu’il n’y a jamais eu autant de personnes qui souffrent de la faim dans le monde, songeons un instant à l’avenir. A force de volonté, de courage et de persévérance – et à condition que nous soyons nombreux à travailler ensemble et à nous entraider – nous pourrons produire davantage de manière durable pour nourrir ceux qui en ont le plus besoin.
[2] L'objet de la Journée mondiale de l'alimentation, proclamée en 1979 par la Conférence de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), est de faire mieux connaître les problèmes alimentaires dans le monde et de renforcer la solidarité dans la lutte contre la faim, la malnutrition et la pauvreté. Cette journée commémore la date de la fondation de la FAO en 1945. En 1980, l'Assemblée générale des Nations Unies a accueilli favorablement la célébration de la Journée, considérant que "l'alimentation est une condition nécessaire à la survie et au bien-être de l'être humain et qu'elle est un besoin fondamental"
[3] Chaque année, le 16 octobre, l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture célèbre la Journée mondiale de l'alimentation, qui commémore la date de sa création, en 1945. Le thème retenu pour la Journée mondiale de l'alimentation et le TeleFood en 2005, " Agriculture et dialogue des cultures ", évoque la contribution des différentes cultures à l'agriculture mondiale et plaide en faveur d'un dialogue sincère entre les cultures, condition préalable de tout progrès dans la lutte contre la faim et contre la dégradation de l'environnement.

BIBLIOGRAPHIE :

[1]Nom du site : Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture
Consultation : 7/10/10
Disponible : http://www.fao.org/getinvolved/worldfoodday/fr/

[2]Nom du site : La bibliothèque Dag Hammarskjöld
Consultation : 7/10/10
Disponible : http://www.un.org/depts/dhl/dhlf/food/index.html

[3]Nom du site : Journée Mondiale
Consultation : 12/10/10
Disponible : http://www.journee-mondiale.com/64/16_octobre-alimentation.htm

(Photo) Nom du site :Petitgestevert.ca
Consultation : 14/10/10
Disponible : http://www.petitgestevert.ca/wp-content/uploads/2010/03/16_Octobre_JourneeMondialAlimentation.jpg

vendredi 24 septembre 2010

Pourquoi faire du développement durable?



Le développement durable se définit comme étant un développement qui répond aux besoins du présent sans pour autant compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs.
Par ailleurs, ce concept comporte un ensemble d’exigences. D’une part, la satisfaction des besoins essentiels des communautés humaines présentes et futures se réalise en rapport avec les contraintes démographiques comme l’accès à l’eau, à l’éducation, à la santé, à l’emploi ; la lutte contre la faim ou la malnutrition. D’autre part figure également comme objectif l’amélioration de la qualité de vie, c’est-à-dire un accès plus facile aux soins médicaux, aux services sociaux, à la culture, et donc au bien-être social. En outre, le respect des droits et des libertés et le renforcement de nouvelles formes d’énergies renouvelables comme l’énergie éolienne, solaire ou géothermique sont des aspects importants du développement durable.
En fait, ce concept est né de deux constats : la fracture Nord/Sud et la recherche d’un développement humain, ainsi que la crise écologique accompagnée de l’urgence de sauvegarder l’environnement.

La Terre, notre planète, va mal, et c’est de notre faute.
Les habitants des pays riches, consomment et gaspillent énormément. Aujourd’hui, on ne fait même plus la différence entre envie et besoin. Consommer toujours plus, c’est piller toujours plus les ressources naturelles que la planète a mis des millions d’années à créer (air, eau, océans, forêts, terres cultivables, biodiversité, pétrole), et qui ne se renouvellent pas assez vite pour satisfaire la demande croissante… Et rejeter toujours plus de pollutions et de déchets dans l’environnement, qui commence à être saturé…
Cette situation ne peut pas durer : les catastrophes écologiques et sanitaires montrent déjà les limites du système. Et cela ne va faire que s’aggraver : la Terre compte 6 milliards d’habitants ; en 2050, nous serons 3 milliards de plus.
Aujourd’hui, la grande majorité de l’humanité vit toujours dans la pauvreté. Des millions de femmes, d’hommes et d’enfants n’ont ni eau potable, ni électricité, ni éducation, ni assez à manger… Mais si tous les habitants de la terre vivaient comme nous, il faudrait deux planètes supplémentaires pour satisfaire leurs besoins !
En apprenant à économiser et à partager de manière équitable les ressources, en utilisant les technologies qui polluent moins, qui gaspillent moins d’eau et moins d’énergie, et surtout en changeant nos habitudes de consommation et nos comportements. C’est cela, le développement durable. Ce n’est pas un retour en arrière, mais un progrès pour l’humanité : celui de consommer non pas moins, mais mieux. Il est devenu urgent d’agir. Nous en avons tous les moyens. Et surtout, le devoir.

BIBLIOGRAPHIE :

Nom du site : Le développement durable
Date de consultation : 23 / 09 / 10
Disponible : http://www.developpementdurable.org/

Nom du site : Le Développement durable, pourquoi ?
Date de consultation : 23 / 09 / 10
Disponible : http://www.ledeveloppementdurable.fr/developpementdurable/page/pourquoi.html

(Image) Nom du site : Ponts Information Edition
Date de consultation : 19 / 09 / 10
Disponible : http://www.ponts-formation-edition.fr/images/environnement.jpg