lundi 29 novembre 2010

Réchauffements climatiques


[1]Définition : Le réchauffement climatique (en anglais global warming pour réchauffement global) est un phénomène d'élévation de la température moyenne à la surface du globe (air et océans) qui a commencé il y a plusieurs décennies et se poursuit actuellement.
[2]Le réchauffement climatique, également appelé réchauffement planétaire, ou réchauffement global, est un phénomène d'augmentation de la température moyenne des océans et de l'atmosphère, à l'échelle mondiale sur plusieurs années. Dans son acception commune, ce terme est appliqué à une tendance au réchauffement global observé depuis les dernières décennies du XXe siècle.
[3]L'effet de serre:
Les variations de température de l'atmosphère sont généralement liées à différents facteurs comme les fluctuations de l'activité du Soleil ou de la vitesse de rotation de la Terre. Mais la majorité des scientifiques pensent que la cause majeure du réchauffement actuel de la planète est un phénomène différent, appelé l'effet de serre. Il s'agit d'un processus par lequel une grande partie de l'énergie du Soleil qui atteint la Terre est emmagasinée par l'atmosphère de notre planète, plutôt que réfléchie et renvoyée vers l'espace.
La cause la plus probable de l'accélération de l'effet de serre et du réchauffement climatique depuis la fin du XIXe siècle est l'impact de l'homme sur son environnement. D'énormes quantités de gaz à effet de serre sont en effet relâchées dans l'atmosphère par diverses activités modernes comme l'utilisation de combustibles fossiles dans l'industrie et les transports, ainsi que certaines pratiques agricoles comme le déboisement et l'élevage de bovins. On estime ainsi par exemple que la concentration du dioxyde de carbone dans l'atmosphère a augmenté de 30 pour cent depuis le début de l'ère industrielle, ce qui contribue de manière non négligeable à l'effet de serre.

Bibliographie :

[1]Nom du site : Planete energies
Consultation : 28/11/10
Disponible : http://www.planete-energies.com/contenu/7_11_climat2.html

[2]Nom du site : Wikipedia
Consultation : 28/11/10
Disponible : http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9chauffement_climatique

[3]Nom du site : Introduction à l'astronomie
Consultation : 28/11/10
Disponible : http://www.astronomes.com/c1_solaire/p134_rechauffement.htm

(photo)Nom du site : FW Perso
Consultation : 28/11/10
Disponible : http://frankwuyts.be/b7351.jpg ou http://frankwuyts.be/?p=200

dimanche 28 novembre 2010

Journée mondiale du climat


[1] 30% d’émissions de gaz à effet de serre d’ici 2020, sans nucléaire, c’est possible ! Le changement climatique fait peser de nombreux risques sur notre planète : Multiplication des catastrophes climatiques (canicule, inondations, tempêtes…) ;
Montée des eaux qui menace de disparition certains territoires et provoquera l’exode des milliers de « réfugiés climatiques »
Menace sur la faune et la flore et multiplication des catastrophes alimentaires et sanitaires.
Les fausses solutions que sont l’énergie nucléaire (polluante, dangereuse et proliférante) ou les agrocarburants et les mauvaises orientations comme le « tout autoroute » sont destinées à soutenir un modèle de développement dévastateur. Elles détournent des financements qui devraient être affectés à la promotion des économies d’énergie, de l’efficacité énergétique et des énergies renouvelables !
Du 3 au 15 décembre se tiendra à Bali la 13e conférence internationale des Nations unies sur le changement climatique, pour préparer la suite du protocole de Kyoto.
Au même moment, la France dévoilera le projet de loi issu du Grenelle de l’Environnement.
Pour une véritable justice climatique1, les pays riches doivent s’engager à réduire de 30% leurs émissions de gaz à effet de serre, sans nucléaire, d’ici 2020.
Le 8 décembre, pour la « Journée mondiale du climat », rejoignez les évènements partout en France pour exiger que les promesses politiques soient enfin tenues !
De Grenelle à Bali, agissons contre le changement climatique !
[2] Des associations écologistes organisent aujourd'hui la Journée mondiale du climat. Nom de code : "10/10/10" (10 octobre 2010). "Cela va être, je pense, la journée d'action citoyenne la plus suivie de l'histoire de la planète", s'est plu à annoncer Bill McKibben, cofondateur du mouvement 350.org, à l'origine de cette journée. L'idée étant que "les gens découragés transforment leur frustration en actions".
Destinée à encouragé les citoyens à multiplier les petits gestes écologiques pour donner l'exemple à leurs dirigeants, cette initiative vise surtout à pousser les Etats à renforcer leurs actions contre le réchauffement climatique. A deux mois de la conférence internationale sur le climat, à Cancun (Mexique, 29 novembre-10 décembre), l'objectif est d'effacer la déception qui avait prévalu l'an dernier, à l'issue du Sommet de Copenhague.
7 000 événements en 24 heures dans 188 pays
Nettoyage de cours d'eau aux Etats-Unis, journée sans voiture dans le Pacifique (Tonga, Papouasie-Nouvelle Guinée), course aux déchets et sculptures d'ordures à Pékin, arbres replantés en République démocratique du Congo et aux îles Fidji... Au total quelque 7 000 événements sont prévus ou en cours dans 188 pays. Le coup d'envoi a été donné en Australie et en Nouvelle-Zélande ce matin, avant de se prolonger sur le continent asiatique.
En France, entre autres, la fondation GoodPlanet, présidée par Yann Arthus-Bertrand, relaye l'initiative, avec pour objectif que chacun réduise volontairement ses émissions de gaz à effet de serre de 10 %.

BIBLIOGRAPHIE :

[1] Nom du site : Action conso
Consultation : 27/11/10
Disponible : http://www.actionconsommation.org/publication/Journee-mondiale-du-climat.html

(Photo)Nom du site : Emirates
Consultation : 27/11/10
Disponible : http://www.tunivisions.net/10-10-10-journee-mondiale-rechauffement-climatique,10411.html

dimanche 14 novembre 2010

La consommation


[1] Tout d'abord, la consommation désigne en premier lieu l'achat mais c'est aussi un ensemble d'usages des biens, des interactions sociales autour de cet acte d'achat, généralement dans le but de satisfaire des besoins ou des désirs. Elle est le fait des consommateurs, des entreprises et de l'État. Elle dépend également des usages des groupes sociaux, des contraintes de la vie collective, de la construction sociale du marché, ainsi que des effets de la mondialisation.
Cet article propose une synthèse pour appréhender la vie de la consommation, aussi sur bien sur les évolutions de la consommation, des points économistes et des sociologues mais aussi des politologues, ou encore des religions et sagesses, proposant des analyses plus complémentaires qu'opposées...
[2] La consommation n’étant pas une fonction homogène, elle peut donner lieu à différents classements fondés sur l'une ou l'autre de ses caractéristiques.
On distingue généralement :
la consommation individuelle et la consommation collective :
- dans la consommation individuelle, le bien ou le service consommé ne l’est que par un seul individu, excluant tout autre individu du même usage en même temps (une paire de lunettes).
- dans la consommation collective, plusieurs individus peuvent consommer en même temps le même bien ou le même service (utilisation d'une autoroute, par exemple), sans possibilité d'exclusivité et tout en satisfaisant le même besoin.
Les consommations collectives sont en général des services non marchands produits par des administrations publiques (certains services collectifs pouvant toutefois être produits par le secteur privé, comme les cliniques par exemple).
la consommation finale et la consommation intermédiaire :
- la consommation finale, qui est uniquement le fait des ménages (on parle de consommation finale des ménages), est composée des biens et des services destinés à la satisfaction directe des besoins, ainsi que de l’autoconsommation, c'est-à-dire de la consommation que les individus font de leur propre production (produits des jardins, utilisation des logements dont ils sont propriétaires...).
- la consommation intermédiaire, qui est le fait des entreprises (on parle de consommation intermédiaire des entreprises), concerne les matières premières ou les produits semi-finis qui sont détruits, transformés ou incorporés, au cours du processus de production, pour réaliser le produit final (l'énergie et la farine utilisées pour fabriquer une baguette de pain).
la consommation marchande et la consommation non marchande :
- la consommation marchande qui concerne tous les biens, qui sont par nature marchands dans la mesure où ils sont échangés sur un marché à un prix couvrant au moins leur coût de production.
- la consommation non marchande qui concerne essentiellement les services obtenus gratuitement ou pour un prix inférieur à leur coût de revient (ticket de métro, par exemple).

BIBLIOGRAPHIE :

[1] Nom du site: Wikipedia
Consultation : 14 / 11 / 10

[2] Nom du site : Chambre du commece et d'industrie à Paris
Consultation : 13 / 11 / 10

(Photo) Nom du site : Ecolo info
Consultation : 13 / 11 / 10

Journée mondiale sans achat


Introduction : Depuis quelques années, la journée mondiale sans achats est célébrée. Cela est du pour faire voir aux personnes qu’il n’ est pas la peine d’acheter tous le jours et de les faire comprendre qu'on gaspille beaucoup, des fois pour ne presque pas utiliser ce qu’on achette. C’est une espèce de proteste contre la société de consommation.

[1] Aujourd’hui le caddie est devenu un véritable totem pour les sociétés occidentales. Notre niveau de satisfaction dépend généralement de son niveau de remplissage et nous lorgnons toujours avec envie sur les caddies plus remplis que le notre. J’achète donc je suis : c’est le credo des accros de la carte de crédit. Qui n’a jamais été pris d’une fièvre acheteuse ? Et qui n’a jamais regretté ses achats impulsifs ?
Pour tout ceux qui en ont assez de faire partie de cette société de surconsommation, un rendez-vous incontournable : la journée sans achats fétée chaque année le 26 novembre.
Lancé à l’initiative de la Media Fondation à Vancouver, cet événement est relayé dans de nombreux pays depuis plusieurs années. C’est une journée symbolique dont le mot d’ordre est de ne rien acheter et de réfléchir à ce que signifie réellement la société de consommation. L’un des seuls pouvoirs dont chacun d’entre nous dispose est celui de décider d’acheter ou de ne pas acheter. Nous pouvons librement décider où et à quel prix nous passerons à la caisse. De nos jours l’être humain est trop souvent réduit à une seule dimension : le consommateur. C’est la négation pure et simple de notre humanité. Mais quoi que pensent les multinationales, nous ne nous réduisons pas à un porte-monnaie. Nous avons aussi une dimension spirituelle, culturelle et philosophique qui font notre richesse.
La journée sans achats est le meilleur moyen de s’interroger sur ses actes de consommation. Il est nécessaire de prendre de temps en temps du recul pour réfléchir aux valeurs que nous souhaitons défendre, comme le partage, le respect et la qualité. C’est aussi un instant privilégié pour nous interroger non seulement sur nos droits, mais surtout sur nos devoirs et nos responsabilités. Nous disposons d’un réel pouvoir économique qui peut se transformer en un pouvoir de pression. La décision d’achat ou de non-achat peut donc devenir un acte politique qui contribuerait à changer le système. Consommer autrement, c’est revendiquer sa volonté de voir évoluer les législations, c’est dire oui à une approche éthique de l’acte d’achat, aux alternatives économiques et à une autre gestion de son temps.
On nous pousse à croire que surconsommer est notre destinée d’acteur social ; notre raison d’être dans la société.
[2] La société de consommation est aveugle, il n’y a pas de croissance et de développement économique infinis possibles sur une planète dont les ressources sont limitées.
Nous extrayons aujourd’hui deux fois trop de ressources fossiles, et nous émettons dans l’atmosphère plus de deux fois plus de gaz carbonique que la planète ne peut en absorber.
La société de consommation engendre un pillage et l’injustice : 20 % de la population de la planète, les pays riches, consomment plus de 80 % des ressources planétaires.
Notre niveau de consommation a un coût : l’esclavage économique de populations entières.
Elle nie nos dimensions politique, culturelle, philosophique, poétique ou spirituelle qui sont l’essence même de notre humanité. L’espoir est de réanimer notre conscience et de traduire nos idées au quotidien dans nos actions.

Conclusion : Enfin, pour pouvoir la réaliser, il faut faire appel à nos amis, notre famille, etc..pour qu’ils participent dans cette journée. Il faut impliquer les gens et nous impliquer nous mêmes car d’une manière générale, la haute consommation produit une dégradation de l’environnement et il s’agit d’une publicité qui nous invite à avoir au lieu que d’être.

BIBLIOGRAPHIE :

[1]Nom du site : 28 Novembre : Journée mondiale
Date de consultation : 13/11/10
Disponible : http://www.journee-mondiale.com/141/26_novembre-sans_achats.htm

[2]Nom du site : Action consommation
Consultation : 13/11/10
Disponible : http://www.actionconsommation.org/publication/Journee-internationale-sans-achat.html

(Photo) Nom du site : Alachaîne.ch
Consultation : 13/11/10
Disponible : http://www.darksite.ch/alachaine/spip/spip.php?article67