vendredi 29 octobre 2010

Pollution et mobilité urbaine


[1] Les questions de mobilité urbaine, et tout particulièrement concernant la mobilité automobile, sont très souvent abordées sous un angle passionnel, entre défenseurs de l’automobilité (liberté, passion automobile, plaisir, etc.) et défenseurs de l’environnement au sens large (effet de serre, sécurité, pollution, etc.). Comme la mobilité concerne tout le monde, dans ses pratiques quotidiennes, tout le monde a un avis sur le sujet et les débats prennent vite un caractère enflammé, voire idéologique, nuisant à une approche sereine et dépassionnée du sujet.
Or, comme tout sujet ayant des implications locales et globales, immédiates et durables, l’apport du travail des scientifiques semble plus que jamais nécessaire et pourtant, presque toujours occulté, et en tout cas très peu diffusé.
C’est pourquoi, nous inaugurons ici-même une série d’articles provenant d’une recherche de fond menée par un chercheur sur le thème de la mobilité urbaine. Cette recherche minutieuse a ceci d’intéressant qu’elle n’exprime pas le point de vue d’un seul homme, quand bien même il s’agirait d’un chercheur de renom ou de grande compétence, mais qu’elle se présente comme une synthèse organisée de différents champs de recherche en lien avec la problématique de la mobilité urbaine.
Ces articles sont extraits d’une recherche exploratoire de l’INRETS, commandée par la « Mission Transports » de la Direction de la Recherche et des Affaires Scientifiques et Techniques du Ministère de l’Equipement (DRAST), intitulée « Mobilité urbaine et déplacements non motorisés : situation actuelle, évolution, pratiques et choix modal ».
[2] Tout le monde peut désormais se rendre compte des nuisances occasionnées par la pollution de l’air : il suffit de se rendre sur un axe parisien de grande circulation à 17h un jour anticyclonique. Difficulté respiratoire, odeur nauséabonde, yeux rouges, gorge irritée, fatigue… sont autant de gènes que causent la pollution urbaine. Des millions de citadins sont touchés paR ce phénomène et désormais plusieurs fois par an.
Loin d’être un problème mineur, la pollution devient un mal de plus en plus quotidien. Cela peut sembler incroyable que certaines personnes soient obligées de quitter une ville pour des raisons de santé dues à la pollution. Et pourtant c’est une réalité.

Qui est responsable de la pollution urbaine ?
Les activités industrielles ont sans conteste un poids important, variable selon les villes, dans la pollution citadine. Strasbourg ou Grenoble par exemple souffrent de la proximité de leur tissu industriel et de leur situation géographique défavorable.
Mais les principaux pollueurs ne sont pas forcément les groupes industriels. Ce sont chacun d’entre nous qui nous déplaçons en transports individuels. Une voiture seule n’est pas en elle-même un engin très polluant. C’est l’addition de centaine de milliers de voitures, souvent occupées par une unique personne, pour des transports interurbains. C’est l’utilisation de transport collectif diesel. C’est encore la circulation de poids lourds dans le centre des villes. Tout ces facteurs aggravent les pics de pollution que l’on connaît depuis quelques années.
Pourquoi les pics de pollution interviennent-ils l’été ?
Les pics de pollution ne sont pas uniquement imputables aux activités humaines mais trouvent également leurs origines dans la météorologie : l’absence de vent et une inversion de température créent des conditions climatiques propices à ces pics.
Les problèmes liés à la pollution, considérés il y a quelques années comme des problèmes à long terme, deviennent des problèmes quotidiens. Loin d’être irrémédiable, la situation nécessite la prise de mesures fortes.
La pollution urbaine est engendrée en grande partie par la trop grande concentration d’automobiles. Cette pollution a des conséquences prouvées sur notre santé : d’une simple gêne chez des adultes bien portant, elle peut se transformer en maladie ou en décès chez les enfants, les personnes âgées ou certains malades. Les mesures prises en France au niveau national existent mais reste encore timides. Aucune mesure globale idéale n’existe mais de nombreuses solutions sont en test.
Il est donc de l’intérêt de tous que chacun prenne conscience de l’importance des problèmes de pollution et de leur rôle tant au niveau national, par les élections, qu’au niveau individuel.
Il n’est pas normal qu’une mère doive se renseigner sur le degré de pollution avant de promener son enfant.

BIBLIOGRAPHIE :

[1]Nom du site : Carfree France
Consultation : 26/10/10
Disponible : http://carfree.free.fr/index.php/2005/09/09/mobilite-urbaine-et-deplacements-non-motorises-situation-actuelle-evolution-pratiques-et-choix-modal/

[2]Nom du site : La pollution urbaine
Consultation : 29/10/10
Disponible : http://membres.multimania.fr/pmb/pollution_urbaine.html

(Photo) Nom du site : Education à l'environnement
Consultation : 28/10/10
Disponible : http://environnement.ecoles.free.fr/la%20pollution%20urbaine.htm

mardi 26 octobre 2010

Journée mondiale sans voiture


[1] Lancée pour la première fois en 1998 à l'initiative de la France, la journée mondiale sans voiture est fêtée chaque année le 22 septembre.
Elle tend cependant à être remplacée par la semaine européenne de la mobilité,ou "semaine des transports", mise en place en 2007, qui promeut l'utilisation des transports en commun (ticket à 1 € valable toute la journée), et qui se déroule du 16 au 22 septembre.
La journée "En ville, sans ma voiture !" a pour objectif de favoriser la prise de conscience collective de la nécessité d'agir contre les nuisances générées par la croissance du trafic motorisé en milieu urbain.
Il ne s'agit pas seulement de lutter contre la pollution atmosphérique ou les nuisances sonores, mais aussi d'améliorer la qualité de vie en ville : moins d'encombrement, possibilité de se déplacer à pied sans côtoyer les pots d'échappements, se réapproprier l'espace urbain...
C'est également l'occasion de réfléchir aux solutions alternatives à la voiture individuelle, comme les transports en commun, les nouvelles générations de « voitures propres » ou encore des solutions comme le co-voiturage.
Bien évidemment, la marche et le vélo restent les deux solutions à privilégier ! Quelques chiffres...
- Dans l'Union Européenne (UE), les voitures sont responsables de plus de 10 % des émissions de gaz à effet de serre et de polluants atmosphériques nocifs pour la santé et l'environnement.
- L'initiative En ville sans ma voiture a été appréciée de 84 % de Français
et 81 % ont souhaité la voir se renouveler et même s'étendre à toutes les villes.
- Le bruit a diminué de 50 % ce jour-là et la pollution de 40 à 50 %.
- 64 % des Français jugent que la circulation en ville n'est que « peu » ou « pas du tout supportable »
[2] La journée "En ville, sans ma voiture !" a pour objectif de favoriser la prise de conscience collective de la nécessité d'agir contre les nuisances générées par la croissance du trafic motorisé en milieu urbain. Il ne s'agit pas seulement de lutter contre la pollution atmosphérique ou contre le bruit mais aussi d'améliorer la qualité de vie en ville.
La journée sans voitures existe depuis 1998 et les bilans des dernières années montrent une certaine désafection et un réel désengagement des grandes communautés urbaines :
En France, la 7e édition de la "Journée internationale en ville sans ma voiture" (2004) s'est quelque peu essouflée en France, avec seulement 59 villes participantes mercredi 22 septembre contre 72 en 2003 et 98 en 2002. A Paris, seuls quelques quartiers étaient interdits aux voitures.
Parmi les 58 villes françaises qui ont participé cette année à l'opération figurent Paris, Orléans, Rennes, Narbonne, Poitiers, Lyon, Calais, Mantes-la-Jolie, Amiens, Avignon, Vannes et bien entendu La Rochelle qui fut une pionnière en la matière.
Dans le reste du monde, des reculs sont aussi constatés : Au Portugal, 54 villes, sept de moins qu'en 2003, étaient officiellement concernées par la journée sans voiture. Dans la plupart des grandes villes scandinaves, autrichiennes, grecques, italiennes ou néerlandaises, les résultats ont aussi été très mitigés, par manque d'organisation ou encore de coopération des automobilistes.
[3] Journée internationale « En ville, sans ma voiture ». Les objectifs principaux sont les suivants :
Encourager les comportements compatibles avec le développement durable et plus particulièrement la protection de la qualité de l'air, la réduction du réchauffement planétaire et de la pollution sonore
Améliorer la sensibilisation des citoyens aux effets de leurs choix de transport sur la qualité de l'environnement
Offrir la possibilité aux citoyens de marcher, faire du vélo, prendre les transports collectifs au lieu d'utiliser seuls leurs véhicules privés et promouvoir l'intermodalité
Donner aux gens la possibilité de redécouvrir leur ville ou leur village, leurs concitoyens et leur patrimoine commun dans un environnement plus sain et plus agréable
Ces manifestations devraient également servir de tremplins à des initiatives pilotes à long terme visant à améliorer la sensibilisation du grand public à la pollution, au bruit et aux embouteillages dus à une sur-dépendance de la voiture pour les déplacements en ville.
Le 22 septembre 2003, Montréal a en effet enregistré une baisse immédiate de la pollution, avec 40 % de moins de monoxyde de carbone (CO) et de monoxyde d'azote (NO) par rapport aux lundis habituels, dans le périmètre fermé à la circulation.

BIBLIOGRAPHIE :

[1]Nom du site : Solidaires du monde
Consultation : 22 / 10 / 10
Disponible : http://blognotes.solidairesdumonde.org/archive/2009/09/14/22-septembre-la-journee-mondiale-sans-voiture.html

[2]Nom du site : Journée mondiale
Consultation : 24 / 10 / 10
Disponible : http://www.journee-mondiale.com/118/22_septembre-sans_voiture.htm

[3]Nom su site : La pause lecture
Consultation : 25 / 10 / 10
Disponible : http://www.pause.pquebec.com/sujet/journee-internationale-sans-voitures.htm

(Photo) Nom du site : Transports Canada
Consultation : 25 / 10 / 10
Disponible : http://www.tc.gc.ca/fra/programmes/environnement-pdtu-envillesansmavoiture-959.htm

jeudi 14 octobre 2010

La faim dans le monde


[1] La faim dans le monde est un crime à l’humanité, un attentat contre l’être humain, qui se détruit et souffre par lui-même ! Ce problème majeur, ravageur et destructeur ne devrait plus subsister de nos jours, ni dans les pays développés ou les droits de l’homme sont pourtant si bien défendues (ce qu’on est parfois tenté de se demander), ni dans les pays sous-développés ou en voie de développement ou ces droits sont malheureusement trop souvent erronés.
Les causes cette injustice mondiale, qui représente le principal défi pour l’humanité, sont soient naturelles (conjoncturelles), soit issues de l’homme lui-même (structurelles). Dans ce cas le problème est très complexe et il semble presque impossible de le résoudre complètement (ce à quoi aucun pays n’est encore parvenu). Mais il ne faut pas pour autant baisser les bras, car la passivité est vraiment la dernière chose qui permettrait de le résoudre. Au contraire : il est donc important de lutter contre les inégalités qui existent de nos jours et qui risquent, malgré la mobilisation de nombreuses personnes qui ont pris conscience du problème, de continuer à hanter la planète pendant encore longtemps. C’est pourquoi il faut tous se mobiliser et rester solidaire envers les personnes en difficulté : si chacun fait un peu, le résultat n’en sera pas moins important et on devrait rapidement arriver à de nettes amélioration.
Les solutions sont très nombreuses elles aussi. Il faudrait développer et améliorer l’éducation dans les pays pauvres (notamment une formation plus poussée sur l’agriculture ainsi qu’un enseignement sur une alimentation équilibrée), et informer les enfants dès l’école élémentaire de la gravité de la faim pour ainsi former et apprendre aux plus jeunes âmes ce que subissent des millions d’enfants de leur âge, mais également des hommes et des femmes, dans le monde qui pourraient bien être eux. L’erreur serait de croire qu’envoyer la nourriture excédentaire des pays riches aux pays pauvres est une solution, alors qu’il faudrait plutôt apprendre à ces pays à produire eux-mêmes leur propre nourriture, et ainsi créer un état d’autosuffisance alimentaire, comme l’illustrait si bien ce proverbe chinois. Des réformes au niveau de l’état (meilleure répartition des richesses et de la nourriture) seraient également à prévoir, et ce sont les citoyens, c’est à dire vous et moi, qui doivent les y inciter.
[2]La faim a des causes multiples et historiques. Les guerres, les inégalités d’accès à la nourriture, et les intempéries ont toujours produit des mal nourris. Classifions les causes de la faim.
Les Causes Naturelles à la faim dans le monde
Celles-ci incluent les ouragans, les sécheresses et autres catastrophes naturelles qui diminuent considérablement la production et la distribution des nourritures dans le monde.
Les causes structurelles à la faim dans le monde
Celles-ci sont les vraies causes de la faim. La première cause dans cette catégorie est bien évidemment la pauvreté. Les pauvres ont moins accès à la nourriture pour diverses raisons :
Les conditions naturelles des pays pauvres ne permettent pas la production alimentaire adéquate pour subvenir à leurs populations ;
L’endettement des pays en voie de développement qui empêche ces pays de progresser ;
La croissance démographique est plus importante que la production agricole ;
L’augmentation récente du nombre de personnes souffrant de la faim est largement du à la récente crise économique. Les gens ont perdu leurs emplois et donc leurs sources de revenus, ce qui a diminué leur accès à la nourriture.
Les causes politiques a la faim dans le monde
Ces causes sont les plus inacceptables. Ce sont des décisions volontaires, des lois et des guerres. Au niveau international, la faim a été une arme politique. Les pays puissants ont souvent utilisé cette arme pour contraindre les petits pays à accepter leurs conditions. Au niveau national aussi, il y a de nombreuses injustices liées à la répartition des richesses.
[3] Il est à peine croyable qu’à l’époque de la conquête spatiale et des communications instantanées à travers le globe par Internet, ce fléau moyenâgeux qu’est la famine frappe encore de grandes étendues, parfois des nations entières.
Le rapport de l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation (la FAO), publié le mois dernier, le montre : 850 millions de personnes, soit un terrien sur six, souffrent de faim ou de malnutrition ; un enfant en meurt toutes les cinq secondes.
Ce triste bilan de la faim dans le monde montre qu’en dépit des progrès technologiques et de la croissance, le fléau résiste : il y a aujourd’hui en valeur absolue autant d’affamés dans notre monde qu’il y a quinze ans. Si leur part a légèrement diminué en pourcentage (en 1990, environ 20 % des humains avaient faim), c’est seulement parce que la population mondiale a globalement augmenté. L’ « objectif du Millénaire » fixé en 2000 -réduire de moitié le nombre de personnes sous-alimentées d’ici 2015 - ne sera pas atteint.
Il y a une géographie de la faim. Même dans les pays riches, on est surpris de constater que la malnutrition existe encore, malgré tous les programmes sociaux, parmi les exclus : au total, neuf millions d’habitants des pays industrialisés ont faim ; c’est aussi le cas de 25 millions dans les pays dits « en transition ». Mais on ne sera pas étonné que pour l’essentiel, la famine aille de pair avec le sous-développement : elle recule fortement là où la croissance est importante, comme en Chine, en Asie du Sud-est, et en Amérique Latine. Dans mon enfance, il était courant de dire : « mange ta soupe, pense aux petits Chinois qui ont faim ! ». Aujourd’hui, seules les zones rurales les plus reculées de la Chine connaissent la faim. Même l’Inde, en passe de devenir la première puissance démographique du monde, voit la faim reculer ; elle tire le profit de la « révolution verte » avec l’amélioration des semences et des façons culturales. A l’inverse, les régions affamées s’identifient largement aux zones les plus en retard dans la voie du développement, c’est-à-dire en grande partie à l’Afrique Noire (en 15 ans, le nombre de personnes sous-alimentées s’est accru de 12 % en Afrique de l’Est et de 25 % en Afrique Centrale), mais aussi certains pays du Proche et Moyen Orient (y compris le Pakistan), ou de l’arc andin en Amérique du Sud et quelques pays d’Asie Orientale.
Cette carte recouvre, bien sûr, largement celle du dénuement financier absolu. On sait que 1,1 milliard d’humains vivent avec moins d’un dollar par jour. Cependant, il y a des pays très pauvres qui parviennent à faire reculer la famine et des pays nettement plus riches où l’on souffre de la faim malgré un revenu par tête dix fois plus élevé que les précédents ; l’Irak en est un exemple frappant. La carte de la sous-alimentation recoupe également, en grande partie, celle du manque d’eau potable : là encore, le chiffre est énorme : plus d’un milliard d’humains n’ont pas accès à une eau propre.

BIBLIOGRAPHIE :

[1] Nom du site : La faim dans le monde (8): Conclusion
Consultation : 12 / 10 / 10
Disponible : http://www.rvweb.fr/index.php?2001/12/14/11-la-faim-dans-le-monde-7

[2] Nom du site : Faim dans le monde
Consultation : 7/10/10
Disponible : http://www.economiesolidaire.com/2010/04/27/faim-dans-le-monde/

[3] Nom du site : La faim dans le monde
Consultation : 10/10 /10
Disponible : http://www.canalacademie.com/ida1255-La-faim-dans-le-monde.html

(Photo) Nom du site : Une persone meurt de faim toutes les quatre secondes
Consultation : 12/10/10
Disponible : http://terresacree.org/faim.htm

Journée Mondiale de l' Alimentation



[1] Le thème de cette année, Unis contre la faim, a été choisi afin de reconnaître les efforts réalisés dans la lutte contre la faim dans le monde au niveau national, régional et international.
S’unir contre la faim devient une réalité quand les institutions publiques, les organisations de la société civile et le secteur privé travaillent en partenariat à tous les niveaux pour vaincre la faim, l’extrême pauvreté et la malnutrition.
En 2009, le seuil critique d’un milliard de personnes souffrant de la faim dans le monde a été atteint, en partie à cause de la flambée des prix des denrées alimentaires et de la crise financière. Il s’agit là d’« un terrible bilan ».
En cette Journée mondiale de l’alimentation 2010, alors qu’il n’y a jamais eu autant de personnes qui souffrent de la faim dans le monde, songeons un instant à l’avenir. A force de volonté, de courage et de persévérance – et à condition que nous soyons nombreux à travailler ensemble et à nous entraider – nous pourrons produire davantage de manière durable pour nourrir ceux qui en ont le plus besoin.
[2] L'objet de la Journée mondiale de l'alimentation, proclamée en 1979 par la Conférence de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), est de faire mieux connaître les problèmes alimentaires dans le monde et de renforcer la solidarité dans la lutte contre la faim, la malnutrition et la pauvreté. Cette journée commémore la date de la fondation de la FAO en 1945. En 1980, l'Assemblée générale des Nations Unies a accueilli favorablement la célébration de la Journée, considérant que "l'alimentation est une condition nécessaire à la survie et au bien-être de l'être humain et qu'elle est un besoin fondamental"
[3] Chaque année, le 16 octobre, l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture célèbre la Journée mondiale de l'alimentation, qui commémore la date de sa création, en 1945. Le thème retenu pour la Journée mondiale de l'alimentation et le TeleFood en 2005, " Agriculture et dialogue des cultures ", évoque la contribution des différentes cultures à l'agriculture mondiale et plaide en faveur d'un dialogue sincère entre les cultures, condition préalable de tout progrès dans la lutte contre la faim et contre la dégradation de l'environnement.

BIBLIOGRAPHIE :

[1]Nom du site : Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture
Consultation : 7/10/10
Disponible : http://www.fao.org/getinvolved/worldfoodday/fr/

[2]Nom du site : La bibliothèque Dag Hammarskjöld
Consultation : 7/10/10
Disponible : http://www.un.org/depts/dhl/dhlf/food/index.html

[3]Nom du site : Journée Mondiale
Consultation : 12/10/10
Disponible : http://www.journee-mondiale.com/64/16_octobre-alimentation.htm

(Photo) Nom du site :Petitgestevert.ca
Consultation : 14/10/10
Disponible : http://www.petitgestevert.ca/wp-content/uploads/2010/03/16_Octobre_JourneeMondialAlimentation.jpg